Commentaires sur : Test – Inside /critique/jeux/aventure/test-inside/ Critiques de film, musique, série, livre et de jeux Mon, 30 Jan 2017 16:23:00 +0000 hourly 1 Par : Jofart /critique/jeux/aventure/test-inside/#comment-7550 Sat, 10 Sep 2016 18:31:00 +0000 /?p=36366#comment-7550 Je suis d’accord avec ce que tu dis. Mais après je reste un vieux aigri quand je joue au jeu-vidéo en général. Je note plutôt sévère. Mais Inside m’a beaucoup plus par rapport à ce qu’il raconte et par rapport à l’ambiance, l’image etc… Après comme je l’ai dit cet aspect trop facile, n’est pas forcement dérangeant. Limbo n’était pas difficile non plus. Mais on faisait plus de chose. Par exemple dans Inside, le premier quart d’heure se résume vraiment à aller tout droit et… aller se cacher derrière une caisse avec le bon timing. Sur les 2h30 à 3h de jeu, c’est un peu abusé cette introduction.

D’ailleurs, j’ai refait Limbo juste après avoir fini Inside. Et yes, face à Inside, Limbo est décevant. Inside est beaucoup plus abouti, dans l’aspect visuel, technique et dans la narration mais dans Limbo je n’ai pas ressenti cette sensation de non jeu. Je trouve, malgré toutes ces qualités, Inside ennuyant, même si comme tu le dis il se renouvelle beaucoup (et heureusement). Dans les environnements comme dans la façon de jouer. Après je reste déçu et j’en attendais encore plus du jeu. Peut-être trop.

Pour le coup je me suis senti voler un peu en finissant le jeu alors que pour Journey, Abzu (moins bon qu’Inside) non.

Sorry, un peu brouillon ma réponse ^^

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Par : Valer /critique/jeux/aventure/test-inside/#comment-7543 Fri, 09 Sep 2016 11:01:00 +0000 /?p=36366#comment-7543 J’ai trouvé le gameplay au contraire aussi réussi que le reste : il évolue constamment au fil du jeu, avec de nouvelles mécaniques s’ajoutant, et jusqu’au dernier acte absolument phénoménal. Evidemment, le jeu n’est pas orienté difficulté, et il s’agit plutôt de vivre l’expérience de manière fluide, un peu comme les les jeux narratifs s’attachent à dérouler l’histoire plutôt qu’à la hacher en introduisant une difficulté qui casserait le rythme : l’important est de ressentir ce que dit le jeu plus que de s’arracher les cheveux en se demandant comment atteindre tel levier. En l’état, ce choix de gamedesign m’a paru tout à fait convaincant, et cohérent avec l’épure globale. Comme Limbo, l’ensemble s’effectue d’ailleurs ainsi sans tutorial ni indication d’aucune sorte, tout étant parfaitement naturel.
Il est à noter aussi que le jeu utilise formidablement la 2.5D, en faisant de l’arrière-plan une composante à part entière du jeu, puisqu’on y voit la menace qui nous guette, qui s’approche. C’est particulièrement évident dans la première partie du jeu, où bien que l’on se déplace toujours sur un unique plan 2D, on comprend bien que le jeu se construit au-delà, et se déroule aussi sur un plan auquel le personnage n’a pas accès.

J’avais quelques (légères) crainte en voyant que Inside reprenait à ce point les caractéristiques de Limbo, mais à mon sens il en est un aboutissement complet et maîtrisé, faisant passer le jeu de 2010 pour un brouillon. C’est dire la réussite 🙂

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