Critique d’Assassin’s Creed : Underworld d’Oliver Bowden, un roman inspiré du jeu vidéo à succès d’Ubisoft, Assassin’s Creed : Syndicate.
Une histoire dans le monde souterrain
Un livre qui nous transporte, à l’instar du jeu vidéo Assassin’s Creed : Syndicate, dans la Londres du XIXème siècle, à l’aube de la Révolution Industrielle. On y construit alors la première ligne de métropolitain au monde.
Mais depuis toujours et sur tous les continents, le combat entre Templiers et Assassins fait rage. La découverte d’un cadavre sur le chantier écrit une nouvelle page dans cette guerre séculaire.
Tapi dans l’ombre, un Assassin surnommé le Fantôme, le protégé d’Ethan Frye, est chargé de minimiser, voire de mettre un terme à la mainmise des Templiers sur la capitale de l’Empire Britannique. Il sera bientôt plus connu sous le nom d’Henry Green, mentor de Jacob et Evie Frye, les protagonistes principaux d’Assassin’s Creed Syndicate. Il est facile de s’attacher au personnage principal : un assassin en disgrâce qui n’a plus rien à perdre et qui ne cherche que sa rédemption.
Oliver Bowden se démarque peu à peu des jeux Ubisoft
Comme à son habitude, Oliver Bowden nous emmène dans une fantasy historique, tout comme dans ses livres précédents inspirés des titres d’Ubisoft. Cependant, contrairement à bon nombre des romans Assassin’s Creed antérieurs, Underworld prend un peu de distance avec le jeu Assassin’s Creed : Syndicate puisqu’il se déroule huit ans auparavant.
Malgré un départ un petit peu longuet, le récit devient rapidement plus agréable avec un style fluide. Le lecteur est pris dans la découverte des mystères qui entoure le Fantôme. Bien sur, avec un peu de recul, tout un chacun s’aperçoit que ce n’est qu’un livre marketing mais qu’importe. C’est un voyage dans l’histoire assez réussi malgré quelques longueurs qui offre un bon moment de divertissement au lecteur.
- Le Fantôme
- Un style fluide
- Pas de grosses prises de risque en surfant sur le succèes des jeux vidéos
- Un peu longuet par moment