Les repas de Bond, James Bond

Goeuro vous recommande le permis de manger de James Bond

Vous pensiez tout connaître de l’agent 007 ? C’est une news particulière que nous vous proposons aujourd’hui, et pourtant d’une importance capitale pour les fans de la licence James Bond dont le prochain film, S.P.E.C.T.R.E, sort en cette année 2015 sur nos écrans. Nous connaissons, sur le bout des doigts, l’attirance de Bond pour les Aston Martin (la DB10 pour le prochain film), les alcools (du vin Rotschild au whisky Macallan, en passant par le classique vodka-martini au shaker), les montres (et particulièrement de la marque Omega depuis Goldeneye) ou encore son goût immodéré pour le smoking. Mais il est rare d’obtenir des informations sur les habitudes culinaires de Bond, pourtant intéressantes étant donnée le soin que porte l’espion à son apparence physique, mais surtout à la vue de son goût pour les belles et bonnes choses de la vie.

Rien que pour vos papilles

Matt Sherman a sorti un livre, James Bond’s Cuisine : 007 every last meal (2014), qui analyse 56 romans de la licence inventée par Ian Fleming, mais aussi les 23 films. Le résultat est édifiant, l’auteur tire non seulement un constat sur les habitudes gustatives de Bond, mais répertorie aussi les restaurant où 007 s’est arrêté. On se rend compte que Bond, malgré une adaptation aux pays où il est envoyé en mission, ne peut cacher ses origines anglaises. Par exemple, en adorant les petits-déjeuners à base d’œufs brouillés, qu’ils soient accompagnés par un porridge, du bacon, ou un simple café. Pour son midi, Bond ne déroge pas à sa philosophie épicurienne, que ce soit en mode pique-nique anglais avec un panier gourmand de chez Harrods, ou en dégustant un foie gras maison garni de caviar accompagné de pain blanc et de seigle noir. Appétissant, non ? Et si, en Allemagne, Bond préfère déjeuner à base de saucisses blanches avec bretzel et une grande chope de bière, le soir venu il n’en oublie pas son appétit. Bond peut dîner aussi bien d’un steak-frites, accompagné d’une salade, ou adorer une moussaka au bœuf haché, aubergine frites, oignons et béchamel. Et une petite mousse au chocolat pour finir, parce que Bond a (aussi) le droit à son pêché mignon.

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L’appétit ne meurt jamais

Matt Sherman a donc effectué un travail de recensement très intéressant, en ne mentionnant pas moins de 254 lieux où Bond s’est arrêté pour se mettre à table, dont 72 restaurants, rien que ça. Les fans de la licence James Bond peuvent donc avoir accès à ces adresses, pays par pays. En France, Bond s’est arrêté notamment au Carlton de Cannes, ou à la brasserie Lipp à Paris. Si vous avez le temps de vous y restaurer, après avoir décroché le jackpot, rappelez-vous qu’il n’y a pas qu’un espion qui ne doit jamais avoir de fringale. Alors n’hésitez pas à vous mettre dans la peau de Bond l’espace d’un repas.

Merci à Goeuro pour nous avoir fait découvrir l’existence de ce livre, en espérant qu’il soit un jour traduit dans la langue de Molière (et de Nabilla, eh ouais) !